Une étude de Yale confirme qu’une blessure liée au vaccin contre la COVID a été diagnostiquée à tort comme étant la COVID longue
Malgré un financement gouvernemental important pour la recherche sur la COVID longue, les autorités ont largement ignoré le nombre croissant de personnes souffrant de blessures causées par les vaccins. Une étude révolutionnaire menée par des chercheurs de Yale confirme maintenant ce que beaucoup soupçonnaient : d’innombrables personnes étiquetées comme patients atteints de COVID longue souffrent en fait du syndrome post-vaccinal (SVP), une maladie déclenchée par une exposition prolongée à la protéine de spicule produite par les vaccins contre la COVID.
Conséquences dévastatrices des dommages causés par les vaccins
Cette révélation met en lumière des cas tragiques de personnes qui ont souffert d’une grave détérioration de leur santé après avoir été vaccinées. La scénariste hollywoodienne Heidi Ferrer, que l’on croyait initialement atteinte de la COVID longue, a ressenti des tremblements débilitants et des vibrations internes après une injection de Moderna. Incapable de trouver un soulagement, elle finit par se suicider. De même, Beth Mazur, défenseure des droits des patients, a vu sa maladie chronique s’aggraver après la vaccination, ce qui l’a conduite au suicide. Ce ne sont là que deux exemples d’une crise qui a été ignorée pendant trop longtemps.
PVS et COVID longue : les deux faces d’une même médaille?
Les symptômes du SVP sont presque identiques à ceux de la COVID longue, ce qui renforce le lien entre les lésions causées par les vaccins et les maladies chroniques. Les chercheurs de Yale ont documenté les symptômes les plus courants chez les patients atteints de SPV :
- Fatigue excessive (85%)
- Picotements et engourdissements (80%)
- Intolérance à l’exercice (80%)
- Brouillard cérébral (77,5%)
- Insomnie (70%)
- Douleurs musculaires (70%)
- Anxiété (65%)
- Acouphènes (60%)
L’étude confirme que la protéine de spicule, affirmée par les autorités sanitaires comme inoffensive et de courte durée, persiste chez les personnes vaccinées jusqu’à 709 jours. Les niveaux les plus élevés ont été observés chez les personnes qui n’avaient jamais été infectées par la COVID, mais qui avaient reçu des vaccins à ARNm.
Déni et censure : l’échec de la communauté médicale
Les autorités sanitaires, y compris celles du Canada, refusent de reconnaître le PVS, laissant les patients blessés par le vaccin sans soutien médical. La recherche exposant les méfaits des vaccins a été supprimée, rejetée comme de la désinformation ou carrément ignorée. Pendant ce temps, les personnes souffrant de complications post-vaccinales sont stigmatisées, beaucoup craignant de parler de peur d’être attaquées ou discréditées.
Ce que cela signifie pour les Canadiens
Le Canada a fait la promotion agressive des vaccins contre la COVID, avec des mandats touchant des millions de personnes. Pourtant, il y a eu peu de reconnaissance des personnes lésées par ces politiques. Les organismes de santé canadiens doivent s’attaquer aux blessures post-vaccinales et s’assurer que les personnes souffrant de SPV reçoivent des soins médicaux appropriés. De plus, d’autres recherches indépendantes sont nécessaires de toute urgence pour évaluer les effets à long terme de la vaccination à ARNm. Communiquez avec vos élus.
Des mesures urgentes sont nécessaires
Cette étude de Yale confirme ce que beaucoup soupçonnaient depuis longtemps : les blessures causées par le vaccin contre la COVID sont réelles, répandues et dévastatrices. Il est temps que la communauté médicale, y compris les établissements de santé du Canada, cesse d’ignorer ces patients et commence à enquêter sur les conséquences à long terme de la vaccination de masse. La pression pour la reddition de comptes et les soins appropriés doit commencer maintenant.
D’autres reportages à venir du journaliste d’enquête Paul D. Thacker, au fur et à mesure que cette question cruciale se déroule.
Study and Source:
Immunological and Antigenic Signatures Associated with Chronic Illnesses after COVID-19 Vaccination The DisInformation Chronicle: Paul D. Thacker