Un groupe de travail de l’Alberta demande l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm contre la COVID-19
Le gouvernement de l’Alberta a publié un rapport révolutionnaire de 2 millions de dollars et de 269 pages du groupe de travail qui fait des vagues avec ses recommandations audacieuses de suspendre l’utilisation des vaccins à ARNm contre la COVID-19, en particulier pour les enfants et les adolescents en bonne santé. Cet examen exhaustif, dirigé par le Dr Gary Davidson, met en lumière les graves préoccupations en matière de sécurité, les lacunes dans les données et la nécessité d’une approche prudente et fondée sur des données probantes pour les interventions en cas de pandémie.
Principales conclusions du rapport du Groupe de travail de l’Alberta
Appel à la transparence et à l’arrêt de la vaccination chez les enfants
Le rapport recommande de cesser l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 à moins qu’il n’y ait une divulgation complète de leurs risques potentiels. Il préconise sans équivoque de mettre fin à leur utilisation chez les enfants et les adolescents en bonne santé. Ces recommandations visent à répondre aux préoccupations croissantes concernant l’innocuité et l’efficacité des vaccins et le manque de données cliniques à long terme.
Données d’innocuité troublantes et absence d’évaluation des risques
Le rapport met en lumière les préoccupations critiques en matière d’innocuité associées aux vaccins, citant les données des essais post-autorisation de Pfizer. En seulement quatre jours après la vaccination, 1 223 décès et 42 086 blessures ont été signalés. Fait alarmant, près de la moitié de ces événements indésirables se sont produits chez des personnes âgées de 18 à 50 ans, un groupe démographique présentant un risque minimal de conséquences graves de la COVID-19. En outre, le rapport révèle un taux de mortalité fœtale/néonatal choquant de 87,5% dans des essais limités menés sur des femmes enceintes. Le groupe de travail souligne que le processus décisionnel de Santé Canada pour approuver ces vaccins était truffé de « lacunes importantes » dans les données, ce qui soulève des questions quant à savoir si une évaluation appropriée des risques a déjà été effectuée. Le rapport critique le recours à l’autorisation d’utilisation d’urgence, qui a accéléré l’approbation des vaccins, mais n’a pas permis d’assurer des évaluations de l’innocuité à long terme.
Problèmes avec les nanoparticules lipidiques et les risques de myocardite
Le rapport soulève également des alarmes sur l’utilisation de nanoparticules lipidiques (LNPs) dans l’administration du vaccin. Ces molécules de graisse synthétique ont un profil de toxicité bien documenté, avec des préoccupations au sujet de leurs impacts potentiels à long terme sur la santé. De plus, le groupe de travail signale le risque accru de myocardite et de péricardite – des maladies cardiaques qui peuvent avoir des conséquences à vie et potentiellement mortelles – en particulier chez les jeunes.
Défis liés à la transparence et à la responsabilisation en matière de santé publique
L’examen de l’Alberta met en lumière des écarts importants dans les essais cliniques, y compris un suivi inadéquat, des données manquantes et des conflits d’intérêts. La sous-déclaration des événements indésirables est un autre problème critique, avec seulement 1 à 10% des cas correctement documentés. Ces défis font qu’il est presque impossible d’effectuer des analyses indépendantes ou de vérifier les allégations de sécurité faites par les autorités de santé publique. L’un des contributeurs au rapport, le Dr David Speicher, virologue moléculaire, s’est dit déçu que le gouvernement de l’Alberta ait retardé la publication du rapport de six mois et l’ait discrètement publié sans conférence de presse appropriée. Le Dr Speicher a décrit le rapport comme une « critique bien écrite » de la réponse de la province à la pandémie et a souligné son potentiel à susciter des discussions essentielles sur l’innocuité des vaccins et la transparence du gouvernement.
Une voie à suivre : Prioriser les politiques fondées sur des données probantes
Les conclusions du groupe de travail soulignent la nécessité d’adopter une approche prudente et transparente à l’égard des politiques de santé publique. Le Dr William Makis, l’un des contributeurs au rapport, a souligné l’importance du consentement éclairé et des analyses rigoureuses des risques et des avantages dans les futures interventions en cas de pandémie. Le rapport demande :
- Une réévaluation du profil d’innocuité des vaccins à ARNm.
- Soutien accru pour les personnes blessées par les vaccins.
- Amélioration de la transparence des décisions réglementaires.
- Un solide mécanisme de retrait des mandats fédéraux en matière de santé publique.
Le rapport du groupe de travail de l’Alberta est une étape importante pour répondre aux préoccupations constantes entourant les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Ses recommandations audacieuses exigent une attention immédiate de la part des décideurs, des responsables de la santé publique et de la communauté médicale en général. En accordant la priorité à la transparence, à la responsabilisation et à la prise de décisions fondées sur des données probantes, l’Alberta crée un précédent pour une approche plus prudente et responsable face aux défis futurs en matière de santé publique.
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Sources:
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Nicolas Hulscher, MPH. "Massive Alberta Government Task Force Report Calls for Halt to COVID-19 ‘Vaccines.’"
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Dr. William Makis, MD. "Alberta government COVID-19 review calls for immediate halt to COVID-19 mRNA vaccines, citing safety concerns."
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Tamara Ugolini. "Alberta government COVID-19 review calls for immediate halt to COVID-19 mRNA vaccines, citing safety concerns."
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