Une étude controversée menée par des chercheurs en Corée du Sud et au Japon affirme avoir identifié des « entités auto-assemblantes ressemblant à des vers » dans le corps des personnes vaccinées avec des injections d’ARNm Covid. Le Dr Young Mi Lee et le professeur Daniel Broudy ont dirigé l’enquête, qui a permis d’observer la formation de nanostructures synthétiques dans les vaccins Pfizer et Moderna dans des conditions de laboratoire. Voici les principales conclusions de l’étude :
- La formation de structures auto-assemblantes, y compris des tiges, des disques, des bobines et des formes en forme de tube, a été observée lorsque les vaccins à ARNm ont été incubés dans des fluides comme l’eau distillée et le plasma sanguin.
- Ces structures auraient évolué en formes 3D plus complexes avant de se désintégrer après six mois.
- Des effets de toxicité cellulaire ont été notés, tels que des cellules sanguines endommagées et l’effondrement des plaquettes, avec des impacts distincts pour différentes marques de vaccins.
Les chercheurs ont établi des parallèles entre leurs observations et d’autres phénomènes rapportés, tels que des caillots inhabituels trouvés chez les personnes vaccinées et des découvertes antérieures de nanostructures dans les vaccins Covid. Ils ont appelé à un moratoire mondial sur les vaccins à ARNm jusqu’à ce que leurs composants et leurs effets à long terme soient mieux compris. Ces allégations sont très controversées et pourraient alimenter davantage les débats sur l’innocuité des vaccins. Une validation évaluée par des pairs et d’autres études sont essentielles pour confirmer les résultats et évaluer leurs implications.