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mars 01, 2023

119 experts médicaux Lettre ouverte au Collège médical du Québec remettant en question l’innocuité et l’efficacité du vaccin expérimental contre la COVID pour les enfants.

9 février 2023 Dr Mauril Gaudreault Président du Collège des Médecins du Québec 1250, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal (Québec), H3B 0G2 Cher Dr Gaudreault, Monsieur le Président du CMQ, suite à notre dernière rencontre, vous nous faites savoir que vous communiqueriez le fruit de votre réflexion éventuellement en janvier 2023.
Nous n’avons toujours pas reçu de réponse à ce jour.
Cependant, nous tenons à vous remercier de nous avoir reçus le 7 décembre dernier en tant que médecins, chercheurs et représentants des citoyens pour discuter de la gestion de la crise sanitaire COVID-19.
Nous remercions également Dre Isabelle Tardif (adjointe au directeur), Marie-Josée Dupuis (administratrice) et Dre André Luyet (directrice générale) pour leur écoute particulièrement attentive et professionnelle.
Tous les trois nous ont semblé très ouverts d’esprit.
Nous les saluons et les remercions de tout cœur.
Nous remercions également M. Jacques Tétrault, directeur des communications, de sa présence.
Nous pensons que cette réunion a été fructueuse.
Bien que, dès le départ, vous ayez exclu la participation éventuelle de nos experts ou d’un membre de notre groupe à la formation d’un comité de réflexion, bien que vous ayez également exclu une étude par comité des questions éthiques soulevées, bien que vous n’ayez pas non plus jugé bon d’examiner les solutions possibles que nous avons proposées et que vous n’ayez pas non plus voulu répondre à cinq questions que nous avions formulées, vous nous avez quand même permis d’exprimer notre point de vue sur la vaccination expérimentale des enfants et des femmes enceintes au Québec.
Nous notons également que vous n’avez formulé aucune opposition à l’information et aux interprétations proposées dans nos communications écrites (lettre des 19 octobre, 3 et 21 novembre 2022) et aux communications verbales.
Vous êtes bien sûr toujours invités à le faire.
En attendant, nous croyons que nous sommes autorisés à poursuivre notre réflexion sur ces mêmes bases et bien que les faits évoqués et les affirmations avancées soient parfois en contradiction avec le récit habituel, ils sont admissibles parce qu’ils sont soutenus par la science.
N’est-ce pas la nature même de la science d’examiner les controverses et d’en tirer les meilleures leçons ?
Vous nous avez fait remarquer, Dr Gaudreault, que le CMQ n’est pas une société savante.
Mais cela signifie-t-il que le CMQ est en marge de la science ?
Sa conduite devrait-elle être inspirée par les entreprises de marketing ou devrait-elle être inspirée par les analyses scientifiques les plus rigoureuses et indépendantes disponibles ? Les motivations de l’industrie pharmaceutique concernant la vaccination génétique des enfants : Les véritables motivations de l’industrie en ce qui concerne la vaccination des enfants sont les suivantes : d’une part, mettre les fabricants sous le parapluie juridique de la Loi sur les vaccins, leur garantissant ainsi une immunité juridique totale conférée par ce statut spécial, et d’autre part, assurer un revenu récurrent considérable année après année en introduisant ce produit dans le calendrier de vaccination des enfants.
Dans ce plan d’affaires purement mercantile, comme on pourrait s’y attendre d’une entreprise à but lucratif, l’intérêt supérieur de l’enfant n’est jamais pris en compte. Le CMQ prendra-t-il le relais ?
Le CMQ n’est-il pas le rempart ultime, la protection apolitique légale pour garantir le bien-être et la sécurité de nos enfants ? De quel côté de l’histoire, de la science et de l’éthique le CMQ se positionnera-t-il sur cet enjeu crucial qui touche les enfants et les femmes enceintes du Québec ? Injections qui continuent… : Chaque jour, des centaines, voire des milliers, d’enfants du Québec se font injecter un vaccin génétique à ARN messager.
Ce gène « vaccin » leur est administré en prétendant qu’il s’agit d’un produit « sûr et efficace »,
– sans que les parents soient pleinement et intelligemment informés des dangers et des risques inconnus, non reconnus et potentiels de ce produit à court, moyen et long terme,
– sans que les parents soient clairement informés qu’il s’agit d’un produit expérimental qui n’a pas été testé de manière adéquate sur des animaux,
– sans que les parents sachent que ce produit peut affaiblir de façon permanente le système immunitaire de leur enfant (V. Dr P. Offitt) – sans se faire dire que c’est un produit complètement différent des vaccins qu’ils connaissent et qu’il interfère avec les mécanismes intimes de la génétique humaine (qui sont le résultat de 3,5 milliards d’années d’évolution), – sans se faire dire que ce produit subjugue et prend en otage les cellules endothéliales du corps de leur enfant dans le but de fabriquer une substance étrangère, à la fois immunogène et toxique pour l’enfant, – sans étant souligné qu’environ 70 à 90% des enfants n’en ont pas besoin, ayant déjà acquis une immunité naturelle, dont l’immunité, à la fois humorale et cellulaire, surpasse en qualité et en durée l’immunité incomplète et instable conférée par le produit qui leur est offert – sans leur expliquant que le produit qu’on leur donne, qui est irréversible, n’a fait l’objet d’aucune étude d’innocuité concernant la cancérogénicité, la tératogénicité ou même la toxicité et la biodisponibilité, – sans les informant que cette substance inflammatoire a le potentiel de causer des perturbations fonctionnelles et des dommages durables à certains organes du corps humain.
Tout ce qui précède est spécifique à la technologie de l’ARNm et non aux vaccins traditionnels auxquels ils ont été faussement associés.
Ces injections sont en grande partie faites « à l’aveugle » avec un minimum de données, y compris des indications que la fertilité future de nos enfants injectés peut être compromise (Pfizer étude japonaise chez le rat).
Les taux sanguins de ces substances, leur degré de fragmentation ainsi que leur durée d’action et leurs demi-vies sont inconnus et souvent aléatoires. Un rappel de deux tragédies impliquant des produits insuffisamment étudiés : L’utilisation de la thalidomide et du diéthylstilbestrol pendant la grossesse dans les années 1960 avait entraîné des malformations fœtales et des cancers gynécologiques des décennies après l’administration de ces produits.
Au cours de notre réunion, vous n’avez pas nié le parallèle très approprié entre ces produits et les vaccins géniques actuels.
Est-ce que le CMQ, qui a 150 ans d’histoire, se souvient de cette tragédie iatrogène dont les victimes sont encore identifiables aujourd’hui ?
Le CMQ prendrait-il le risque d’être spectateur de la répétition d’un drame similaire ? Promotion d’un produit expérimental : Le CMQ a-t-il été entraîné dans la foulée d’une campagne promotionnelle ?
Dans l’affirmative, aurait-il suspendu ou obscurci des articles entiers de son propre code d’éthique, y compris le droit des citoyens à un consentement libre et éclairé ?
Rendant ainsi les parents et les femmes enceintes inaptes à prendre une décision de grande importance au nom de leur enfant vivant ou à naître ? Les femmes enceintes et leur fœtus : La société Pfizer, dans la notice explicative de son vaccin génétique, dit ce qui suit : « Il n’y a pas de données établissant l’innocuité pour les femmes enceintes ».
Pourquoi alors imposer ce produit aux femmes enceintes du Québec tout en les gardant dans l’ignorance de sa vraie nature ?
Pourquoi le principe de précaution implicitement mentionné par Pfizer n’est-il pas pris en compte par le CMQ lui-même ? Une procédure irréversible : Ces substances sont injectées dans nos enfants et nos femmes enceintes par une procédure irréversible, c’est-à-dire par des injections qui traversent les barrières protectrices naturelles du corps humain.
Ils ont été présentés au public comme des « vaccins comme les autres », comme des produits « sûrs et efficaces » ; ce qui, à notre avis, est de la désinformation de premier ordre.
La FDA elle-même définit ce produit comme une thérapie génique : « La thérapie génique humaine cherche à modifier ou à manipuler l’expression d’un gène ou à modifier les propriétés biologiques des cellules vivantes à des fins thérapeutiques 1 « .
(Toutefois, si ce vaccin génétique répond à la définition des CDC, c’est parce que la définition a été modifiée arbitrairement à cette fin.)
Le public a droit à la vérité. Parents non informés qui prennent des décisions au nom de leur enfant : Le principe éthique d’un « choix libre et éclairé, sans menaces ni contraintes » est proclamé haut et fort.
Qui peut prétendre que ce principe a été respecté alors qu’il y a eu une loterie pour les enfants vaccinés, lorsque des enfants non vaccinés ont été ostracisés dans les écoles, lorsque des enfants non vaccinés se sont vu refuser l’accès au sport et lorsqu’ils sont allés jusqu’à menacer de refuser l’assistance médicale aux femmes enceintes non vaccinées ?
Les parents n’ont pas été informés des dangers potentiels de ces produits à court, moyen et long terme. Pourtant, les autorités sanitaires savaient ou auraient dû savoir depuis longtemps que ces produits ont causé une foule d’effets secondaires ; cela a été démontré par tous les systèmes de détection dans le monde : VAERS, V-Safe, Carton jaune, Eudravigilance, Vigi Access etc).
Ces produits ont causé plus de décès, plus de morbidité que tous les vrais vaccins combinés en 30 ans d’utilisation. Déni des effets secondaires et allégations trompeuses : En février 2021, Pfizer avait documenté 1 291 effets secondaires de son produit.
Il a fallu une ordonnance du tribunal pour forcer Pfizer à divulguer les effets secondaires de son produit (que l’entreprise ne voulait divulguer que dans 75 ans).
Qu’il a été décidé d’étendre l’utilisation de ces produits autorisés uniquement en vertu d’une clause d’«utilisation d’urgence », aux enfants et aux femmes enceintes pour lesquels il n’y a jamais eu d’urgence, que cela a été fait avec des allégations trompeuses en faisant appel à des sociétés de commercialisation en complicité avec de nombreux médecins ayant des conflits d’intérêts si évidents qu’ils auraient dû s’abstenir de toute intervention publique, qu’il a été fait à l’échelle mondiale, constitue aux yeux de nombreux observateurs le plus grand crime dans l’histoire de la médecine de la santé.
Violations de l’éthique : Ces violations de bon nombre des principes de notre code d’éthique sont si flagrantes et ont des conséquences si pernicieuses et préjudiciables pour nos enfants et nos femmes enceintes qu’elles nécessitent des mesures urgentes.
Une simple réflexion théorique ne s’impose pas.
Ces infractions nécessitent plutôt des recommandations urgentes de la part du CMQ à la direction de la santé publique du Québec et au gouvernement de déclarer un moratoire immédiat sur la vaccination des enfants et des femmes enceintes, en attendant les résultats des travaux de comités d’experts indépendants, à l’inse exemple de la proposition que nous avons faite. Financement de la recherche bioméd médicale et des conflits d’intérêts : Il est malheureusement nécessaire de préciser ici que, conformément à notre code d’éthique, il ne doit y avoir aucun conflit d’intérêts, ni même l’apparence d’un conflit d’intérêts.
Par conséquent, les experts qui ont des liens étroits avec l’industrie pharmaceutique doivent être exclus de tout comité indépendant statuant sur ces injections de gènes.
Les articles 7, 63 et 64 de notre code d’éthique sont assez explicites à ce sujet.
Le public a droit à une information libre et éclairée.
Faut-il le rappeler ?
Puisque pratiquement toute la recherche biomédicale au Québec est financée par l’industrie pharmaceutique, la désignation par le CMQ ou par nos autorités sanitaires d’experts de bonne foi et libres de tout lien qui pourrait interférer avec leur jugement est encore plus importante.
Il convient de noter, en tant que gestionnaire, par exemple, que la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) a des sources de financement très contradictoires qui peuvent fausser leurs conseils. Canada.
Censure de la science.
L’éthique sacrifiée.
L’avenir de la profession :
En Ontario et en Colombie-Britannique, dans la foulée de la crise sociétale que nous vivons, l’avenir de la profession médicale est en jeu sur le plan juridique.
En Ontario, avec l’affaire Trozzi-Luchkiw’s-Philips et en Colombie-Britannique (projet de loi 36), une question essentielle est posée : les médecins devraient-ils donner la priorité à leur serment d’Hippocrate et à leur code de déontologie lorsque les directives administratives vont à l’encontre de leurs obligations déontologiques, ou devraient-ils obéir à ces mêmes directives ? Assistons-nous à la fin de la médecine en tant que profession libérale ?
La mission et le devoir premier du médecin de défendre les intérêts du patient ne seront-ils rien de plus que des vœux pieux ?
Quelle est la position du CMQ sur cette question brûlante ? Alertes de sécurité : Le 22 octobre 2020, le Center for Biologic Evaluation and Research (CBER) de la FDA, avant le début de la vaccination de masse, a produit un rapport décrivant 22 classes d’effets secondaires prévisibles basés sur la technologie du vaccin à ARNm.
Tous ceux-ci se trouvent dans les systèmes de surveillance à travers le monde tels que VAERS, V-Save, Carton jaune, Eudravigilance etc.
Après beaucoup de retard et de pression, le CDC a finalement publié les signaux d’innocuité pour les événements indésirables signalés dans VAERS en juillet 2022.
Un signal d’innocuité est un signal qui, après une analyse statistique comparative, est associé selon toute probabilité à l’administration du vaccin génétique.
Parmi ces signaux, il y avait 65 signaux pour les enfants âgés de 5 à 11 ans et 92 signaux pour ceux âgés de 12 à 17 ans.
Le déni face à de telles informations n’est plus possible.
Des slogans publicitaires, chacun plus rassurant que le précédent (vaccin comme les autres, vaccin sûr et efficace, myocardite rare et bénigne, immunité vaccinale meilleure que l’immunité naturelle, etc.) affirmés encore et encore, ne pourront pas nous protéger de nos responsabilités face à la justice. Les médecins, les administrateurs, les influenceurs et les autorités sanitaires du Québec sont assujettis au code pénal et doivent tous être conscients de leurs responsabilités légales immédiates et futures. C’est pourquoi nous vous implorons encore une fois, Dr Mauril Gaudreault, de recommander la suspension immédiate de la « vaccination » covid-19 des enfants et des femmes enceintes au Québec, ne serait-ce que pour respecter le principe de précaution.Une incursion dans le monde des adultes d’ici et d’ailleurs et ce que cela signifie pour nos enfants : Nos remarques ne concernent pas l’injection de gènes d’adultes.
Cependant, cette vaccination génétique expérimentale des adultes concerne également les enfants, d’une part parce que c’est le même produit qui a d’abord été injecté aux adultes sous le couvert d’une « utilisation d’urgence » puis injecté aux enfants sous le même couvert, sans aucune urgence pour eux.
Et, deuxièmement, parce que l’analyse des effets bénéfiques et délétères de ce produit chez les adultes est utile pour savoir à quoi s’attendre si l’on devait administrer ce produit aux enfants en l’absence de preuve d’un équilibre bénéfice/risque favorable.
Au Québec : – Il est clair que malgré les mesures de confinement les plus restrictives par rapport au reste du monde occidental, malgré un taux de personnes injectées bien au-delà des objectifs initiaux, le coronavirus SARS-CoV2, connu pour son taux de mutation élevé, n’a jamais pu être contenu.
– Il est également important de noter qu’au Québec, selon les statistiques officielles du gouvernement, en juin 2022 (les données ne sont pas publiées après cette date), les personnes qui avaient reçu 3 doses de vaccin étaient largement surreprésentées parmi les personnes hospitalisées avec la COVID-19.
Ainsi, alors que ceux qui avaient été vaccinés 3 fois représentaient 51,2 % de la population, ils représentaient 70 % des hospitalisations liées à la COVID-19.
Ils étaient donc surreprésentés de 18,8 points négatifs.
Le risque d’hospitalisation d’une personne inoculée à 3 doses était 1,46 fois plus élevé que celui d’une personne non vaccinée.
En d’autres termes, le fait d’être adéquatement vacciné est devenu un facteur de risque d’hospitalisation lié à la COVID-19. – Il faut également noter qu’entre juillet 2021 et juin 2022, toujours selon les statistiques du gouvernement du Québec, le risque de mourir de la COVID-19 était beaucoup plus grand si vous étiez correctement vacciné que si vous ne l’étiez pas.
Les citoyens ordinaires seront excusés d’ignorer ces statistiques québécoises, qui sont sans aucun doute connues de la direction de la santé publique.
Ces statistiques embarrassantes, qui s’opposent au discours promotionnel de la vaccination génétique, ont cessé d’être publiées ici au Québec, mais aussi au Royaume-Uni et dans le monde occidental.
Ils nous ont été communiqués à la suite d’une demande précise entremise de la Loi sur l’accès à l’information.
Que cela nous plappe ou non, il n’y a jamais eu d’épidémie de non-vaccinés (sauf par le biais de fraudes statistiques) et nous assistons plutôt à une épidémie de vaccinés (1). En outre, ailleurs dans le monde, il faut se demander pourquoi la vaccination génétique des moins de 12 ans a été interrompue dans des pays développés tels que la Finlande, le Danemark, la Suède, la Norvège, l’Allemagne, l’Australie, la Floride et le Royaume-Uni.
Il faut également prendre en considération plusieurs observations cliniques et épidémiologiques qui sont déconcertantes, notamment :
1) la surmortalité (mortalité non covidienne) dans les groupes d’âge des moins de 50 ans, qui a déjà été prise en compte par les actuaires des compagnies d’assurance-vie qui n’ont pas d’autre biais que la rentabilité,
2) les alertes de sécurité VAERS très importantes qui auraient dû forcer l’arrêt de l’utilisation de ces produits expérimentaux selon les propres normes de la FDA.
La simple mention de ces faits observables par les meilleurs statisticiens du monde, comme le professeur Norman Fenton, ou des épidémiologistes comme le Dr John Ioannidis, est susceptible d’envoyer une cohorte de journalistes, de déchiffrements et de médecins sous influence aux barricades.
Nous leur rappelons qu’une approche dénuée de tout préjugé commercial, dans le meilleur intérêt des enfants, exige une grande honnêteté intellectuelle de la part de tous afin de trouver une explication à ces observations indéniables.
(1) https://reinfocovid.ca/deux-ans-de-vaccination-anti-covid-19-lesvaccins-ont-une-efficacite-negative-ce-nest-pas-nous-qui-le-disonsmais-les-donnees-de-la-sante-publique/ En tout cas, en ce qui concerne notre sujet, si le principe de précaution devait être sacrifié, annihilant avec lui le serment d’Hippocrate, ces observations concernant les adultes ainsi que les alertes de sécurité, à elles seules, devraient suffire à justifier un moratoire immédiatsur la vaccination des enfants et des femmes enceintes au Québec.Indépendance du CMQ : Ce n’est qu’une question de temps avant que Santé Canada n’autorise l’intégration du vaccin bivalent COVID19 dans le calendrier de vaccination des enfants, comme c’est le cas aux États-Unis.
Cette autorisation sera transformée en obligation de fait au Québec puisque ce produit sera introduit dans le calendrier de vaccination des enfants, ce qui rendra difficile pour les parents mal informés de détecter le subterfuge.
D’autant plus que ce produit génétique est susceptible d’être fusionné avec les vrais vaccins contre la rougeole et la rubéole ; les fabricants ont ouvertement reconnu leur intention de le faire.
Si c’était le cas, vous auriez contribué par votre inertie et votre passivité à une fraude colossale aux répercussions délétères que vous pouvez ou non voir dans les années à venir et qui affectera toute une génération. Les politiciens québécois ont hérité, malgré eux, de la gestion de cette pandémie selon la Loi sur la santé publique du Québec. Nous comprenons également que les politiciens sont la cible et le centre d’un lobbying incessant de la part des sociétés de marketing (McKinsey) et des sociétés pharmaceutiques. Ils doivent s’assurer que les nombreux sièges sociaux des compagnies pharmaceutiques demeurent au Québec et que Moderna est établie à Laval. Tout cela pour préserver des emplois bien rémunérés. Ainsi, seul un organisme politiquement indépendant comme le CMQ, dédié à la protection du public et en est en quelque sorte son tuteur ultime, peut agir sans aucune ingérence pour le bien-être des enfants. Ce devoir de protéger les enfants vous incombe.

Un « corps étranger » dans le calendrier de vaccination des enfants ? Nous ne pouvons pas permettre qu’un tel produit ait, très intelligemment par les fabricants et par un trafic d’influence bien ciblé, tracé son chemin et évité par la porte de fond toutes les organisations de contrôle et de protection du public, tous les gouvernements ainsi que les services de santé publique. Nous ne pouvons pas permettre à l’industrie pharmaceutique d’éluder définitivement toutes les étapes normales de commercialisation d’un produit qui finirait ainsi sous un faux nom, inscrit de façon permanente dans le programme de vaccination des enfants à l’insu de la population et à son détriment. Ce serait une tromperie ignoble. Dr Mauril Gaudreault, dans la carrière de tout homme ayant une haute responsabilité de service à son peuple, il y a des décisions courageuses qui doivent être prises. Cette décision de demander un moratoire sur la vaccination génétique des enfants et des femmes enceintes est l’une d’entre elles. Conclusion : Vous comprendrez de ce qui précède que, bien que nous vous soyons reconnaissants de nous avoir rencontrés et que la mission de protection du public appartient d’abord et avant tout aux médecins qui ont prêté serment personnellement à cet égard en plus de leurs obligations déontologiques, nous ne pouvons accepter le statu quo. Notre code d’éthique et notre obligation d’être fidèles aux faits de la science nous appartiennent et ne peuvent être sous-traités aux médias et à des influenceurs plus ou moins qualifiés. Il y a urgence et nous nous engageons à travailler ensemble pour que la mission de notre institution, le CMQ, soit respectée, notamment à l’égard de nos enfants et de nos mères enceintes qui constituent l’avenir du Québec. En l’absence d’une décision résolue et concrète de votre part, nous poursuivrons notre travail sans relâche. Nous sommes des professionnels qui avons bénéficié d’un haut niveau d’éducation ; cette éducation ne peut être dissociée de notre devoir de servir et de protéger la population. Cette lettre est également une invitation à tous les médecins et autorités sanitaires du Québec à adopter une position qui sera gravée dans l’histoire et jugée selon les plus grands principes de l’éthique et de la science. Nous représentons de nombreux médecins et professionnels qui préfèrent l’anonymat à une époque de censure factuelle et scientifique implacable. Plus important encore, nous représentons des milliers de citoyens qui ont été des victimes sans défense et qui soutiennent nos efforts. On ne dira pas que nous n’avons pas fait tout ce qui était en notre pouvoir avec des moyens limités. Cordialement, Un collectif de médecins et de professionnels de la santé. www.reinfocovid.ca (Voir la liste des signataires) Encl. : Principles of the Code of Ethics undermined or obscured, CDC Safety Alerts based on VAERS. cc. : INSPQ, MSSSQ, Association des pédiatres du Québec, Ordres professionnels, FMOQ, FMSQ, Association des cardiologues, DRMG cc. Médias : Le Devoir, La Presse, Le Soleil, Journal de Montréal, Radio-Canada, Le Droit, L’actualité et autres. cc. Politiciens de l’Assemblée nationale, Associations de parents signataires : 1. Dr René Lavigueur, Md 2. Dr Robert Béliveau, médecin à la retraite 3. Dr Danielle Fisch, médecin à la retraite 4. Dr Alain Roux, médecin à la retraite 5. Dre Snezana Stanojlovic, Md 6. Simon Ruelland, médecin de famille, Pessamit, Côte-Nord 7. Bernard Massie, Ph.D. en microbiologie U. de M, carrière chez CNRC Canada 8. Patrick Provost, Ph.D., professeur, Faculté de médecine, Université Laval 9. Christian Linard, Ph.D., DEPD en clinique biochimie 10. Dr Gaétan Brouillard, médecin retraité 11. Dr Jacqueline Magny, Md 12. Barry Breger, médecin à la retraite 13. Pierre Thériault, médecin de famille 14. Anne Marie Begué Simon, médecin retraitée 15. Michel de Maupeou, GP 16 retraité. Marie-Claude Bourquel, Md 17. Pierre Larose, dentiste 18. Mariane Hébert, médecin vétérinaire à la retraite 19. Mario Labrie, pharmacien 20. Sarah Paradis, pharmacienne 21. Priscilla Guenette, pharmacienne 22. Jean St Arnaud, médecin de famille obstétricien à la retraite 23. Raymond Pageau, md chercheur à la retraite et professeur 24. Euridice Prado, DDS, Ph.D. 25. Diane Leroux, dentiste retraitée, 26 ans. Guy Duquet, dentiste 27. Luc Limoges, dentiste retraité 28. Robert Bergeron, denturologiste à la retraite 29. Dre Lyne Naud, optométriste 30. Alain Roy, sociologue de la santé 31. Karine Dorais, infirmière auxiliaire en neurochirurgie – CIUSS 32. Gabriela Lucaciu, première infirmière assistante en chirurgie 33. Claudine Jouny, infirmière éducatrice 34 ans. Lucie Asselin, baccalauréat ès sciences en sciences infirmières 35. Sébastien Cormier, aux. infirmière 36. Isabelle Plante, infirmière de 37 ans. Nathalie Hamel, infirmière en soins palliatifs 38. Anne-Louise Boily, infirmière de 39 ans. Caroline Raymond, infirmière auxiliaire 40. Dalila Ghelid, aux. infirmière 41. Adéline Plante, aux. infirmière 42. Lucette Nadeau, infirmière retraitée de 43 ans. Jason Garant, aux. infirmière 44. Nicole Roy, infirmière retraitée de 45 ans. Yulia Babakova, infirmière de 46 ans. Marie-Claude Dubé, infirmière 47. Réjeanne Marois, infirmière 48 ans. Guylaine Berthelette, infirmière clinicienne 49. Sonia Fulham, infirmière EPSH et enseignante 50 ans. Melissa Viau, infirmière clinicienne 51. Jenny Faulkner, membre de l’IPSPL de l’OIIQ 52. Stéphanie Paradis, infirmière clinicienne 53. Francine Brien, infirmière retraitée de 54 ans. Lucie Rochette, infirmière retraitée de 55 ans. Ninon Poisson, ex-infirmière 56. Guylaine Berthelette, infirmière clinicienne 57. Guy Racine, infirmier de 58 ans. Nathalie Marcotte, infirmière 59. Diane Albert, infirmière, B.Sc., M. Sc 60. Claudia Faille, sage-femme de 61 ans. Michèle Daneau, paramédic 62 ans. David Turgeon, ambulancier paramédical 63. Dr André-Marie Gonthier, BSc, DDDC, FICC 64. Jean-Michel Juste, intervenant en soins spirituels, CISSS 65. Odile Desbois, physiothérapeute 66. Sylvie Moquin, physiothérapeute 67. Dany Boudreau, physiothérapeute au CISSSAT 68. Laine Roczniak, physiothérapeute 69 ans. Isabelle Morneau, physiothérapeute 70 ans. Liliya M Gurvits, orthothérapeute 71. Dre Nolwenn Falquet, chiropraticienne, D.C. 72. Dre Tanya Doyon, chiropraticienne 73. Dr Jean-Luc Flipo, chiropraticien D.C. 74. Dre Louise Marcotte, chiropraticienne, B.Sc., D.C. 75. Isabelle Ayers, chiropraticienne 76. Dr Pierre Bernier, chiropraticien 77. Dr André Lajoie, chiropraticien 78. Pierre Des Lauriers, chiropraticien, D.C., N.D. 79. Dr Jasmin Pitre, chiropraticien 80. Jean-Marc Doyon, acupuncteur 81. Sébastien Côté, acupuncteur 82. Sophie Titley, acupuncteur 83. Marilène Côté, acupuncteur 84. Julie Gazard, acupuncteur 85. Alexandra Duclos, acupuncteur 86. Emmanuel Francoeur, acupuncteur (A-040-87) 87. Isabelle Bories, ergothérapeute 88. Nathalie Fontaine, ergothérapeute 89. Esther Gauthier, ostéopathe de 90 ans. André Fortier, ostéopathe 91. Christine Lysight, ostéopathe de 92 ans. Rachel Paquette, ostéopathe de 93 ans. Geneviève Sévigny, ostéopathe 94. Josée Villemaire, ostéopathe 95. Daniel Parent, ostéopathe 96. Suzanne St-Pierre, ex infirmière et ostéopathe 97. Mélinda Fournier, agente chez GAP 98. Daniela Andreeva. M.Sc en immunologie et microbiologie 99. Janick Lussier, préposé aux bénéficiaires, CIUSSS 100. Nadia Dicaire, préposée aux bénéficiaires, 101 ans. Josée Robitaille, préposée aux bénéficiaires, 102. Sindy Laflamme, praticienne 103. Jean-Pascal Vésin, B.Sc. Sciences biologiques 104. Céline Parr, traitement de l’hypnose 105. Lisette Duchesne, massothérapeute agréée 106. Chantal Charest, inhalothérapeute 107. Patrick Vésin, gestion du stress 108. Paul Labrèche, homéopathe 109. Liza Rodrigue, herboriste 110. Ghislaine Cazaubon, naturotherapiste 111. France Meunier, naturotherapiste 112. Daniel Ethier, massothérapeute 113. Véronik Tanguay, naturopathe 114. Keven Arseneault, naturopathe 115. Andrée Royer, naturopathe 116. Lucie Caron, M.Ed 117. Josianne Roy, M.Sc. Chimie 118. Roseline Gagnon M.Sc. Nutrition, naturopathe agréée 119. Mélissa Laflamme, technologue en physiothérapie